Národní muzeum umění Québecu
Národní muzeum umění Québecu | |
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Údaje o muzeu | |
Stát | Kanada |
Založeno | 1922 |
Zeměpisné souřadnice | 46°47′56″ s. š., 71°13′28,99″ z. d. |
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Národní muzeum umění Québecu (Musée national des beaux-arts du Québec, zkratka MNBAQ), je umělecké muzeum v Québecu v Kanadě. Muzeum se nachází v parku Battlefield ve čtyřech budovách; tři byly postaveny přímo pro ně, jedna byla původně vězení.
Instituce vznikla jako Musée de la province de Québec v roce 1933, přičemž přípravné práce začaly o víc než deset let dříve. Muzeum původně zahrnovalo provinční archiv, muzeum umění a přírodovědné muzeum, které se osamostatnilo roku 1962. V následujícím roce bylo muzeum přejmenováno na Musée du Quebec. Provinční archiv byl z muzea vyčleněn v roce 1979 a zůstalo pouze muzeum umění. V roce 2002 se přejmenovalo na současný název.
Sbírka obsahuje přes 40 tisíc děl od 16. století po současnost. Jsou tu především díla, která byla vytvořena v Québecu nebo umělci z Québecu, ale i díla z jiných částí Kanady a ze zbytku světa. Muzeum také provozuje odbornou knihovnu a archiv věnovaný umění.
Vybraná díla
Jean-Paul Riopelle, Vítězství a sfinga, 1963–65
Reference
V tomto článku byl použit překlad textu z článku Musée national des beaux-arts du Québec na anglické Wikipedii.
Externí odkazy
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Média použitá na této stránce
Flag of Canada introduced in 1965, using Pantone colors. This design replaced the Canadian Red Ensign design.
Autor: Jeangagnon, Licence: CC BY-SA 3.0
L'Arbre de la rue Durocher, 1953-1956, orme, Armand Vaillancourt, Musée national des beaux-arts du Québec
Autor: Jeangagnon, Licence: CC BY-SA 3.0
Deux Arcs de 245,5° chacun est une sculpture de Bernar Venet, réalisée en 1997, située dans le Jardin de sculptures Julie et Christian Lassonde qui borde le Musée national des beaux-arts du Québec.
Autor: Jeangagnon, Licence: CC BY-SA 3.0
La Cavalière est une sculpture de Charles Daudelin, réalisée en 1963 (agrandie, moulée et coulée en 2000-2001), située dans le Jardin de sculptures Julie et Christian Lassonde qui borde le Musée national des beaux-arts du Québec.
La Fonte des neiges, Huile sur toile, 71,8 x 57,8 cm. Collection Pierre Lassonde.
« Dans La Fonte des neiges, tout comme dans la majorité des tableaux que Cullen peint à partir des années 1920, la peinture est appliquée avec plus de précision. L’artiste abandonne les larges touches hachurées qui faisaient vibrer ses couleurs, et qu’on trouvait dans le ciel de Coupeurs de glace, Longueuil. Son style s’éloigne donc de l’impressionnisme qui caractérisait sa production antérieure. S’il est vrai que Coupeurs de glace, Longueuil est plus près des œuvres de Monet et de ses collègues, on constate toutefois que Cullen est loin d’avoir adopté leur manière intégralement. La touche n’y est fragmentée que dans le ciel. Dans les autres parties du tableau, les formes, bien que peintes par taches, paraissent beaucoup plus solides, créant ainsi une impression de profondeur entre un avant-plan nettement défini et un arrière-plan plus flou. Cette caractéristique ne se retrouve pas dans les œuvres des impressionnistes français, où l’ensemble de la composition est généralement morcelé par la lumière. Cela peut s’expliquer par le fait que la démarche de Cullen diffère sensiblement de la leur. Comme le mentionne Sandra Paikowsky à propos d’une autre œuvre de la série des coupeurs de glace, « elle suggère une réponse poétique plutôt qu’objective à la lumière ». » - Sarah Mainguy, détentrice d'une maîtrise en histoire de l'art de l'UQAM
Autor: Jeangagnon, Licence: CC BY-SA 3.0
La Victoire et le Sphinx est une sculpture de Jean-Paul Riopelle, réalisée en 1963, située dans le Jardin de sculptures Julie et Christian Lassonde qui borde le Musée national des beaux-arts du Québec.
The Ice Cone at Montmorency Falls
Water colour, lead pencil and gouache and Senegal gum highlighting on paper pasted onto cardboard
39.5 x 55.2 cmThe Entombment of Christ by Jean-Jacques Lagrenée, 1770, oil on canvas, 155.2 x 205 cm., Musée national des beaux-arts du Québec
L'arrivée de Champlain à Québec, 1903, huile sur toile, 329 x 598 cm, Musée national des beaux-arts du Québec (34,04). Photo : Patrick Altman
Montréal vu du mont Royal
Tableau peint en 1853-1854 par Edwin Whitefield (1816-1892). Dans la collection du Musée national des beaux-arts du Québec.
Québec vu du bassin Louise
« Cette vue hivernale de Québec à partir du bassin Louise s'inscrit dans la lignée des œuvres plus intimes de Charles Huot. Dans une composition stable, faite d'horizontales comme la ligne de l'eau, du rivage et de la terrasse Dufferin, elle met en relief la barque que manœuvrent quatre hommes et le traversier qui s'apprête à accoster sur la rive. Perdus dans le brouillard et les contours estompés de la ville, le château Frontenac et la Citadelle se profilent au loin. Le mouvement est souligné par l'action tangible des marins et du navire moderne qui dégage une épaisse fumée, ainsi que par la lente dérive des glaces sur les eaux du fleuve. » – Marc Beaudoin, Société historique de Québec
Autor: Gilbert Bochenek, Licence: CC BY-SA 3.0
Claude Tousignant, membre de l'exposition Les Plasticiens et les années 1950-1960 au Musée national des beaux-arts du Québec du 7 février au 12 mai 2013, Québec, Canada
Autor: Cephas, Licence: CC BY-SA 4.0
Michel Goulet - " Assemblée " - Musée national des beaux-arts du Québec
Autor: Jeangagnon, Licence: CC BY-SA 3.0
Demeure III est une sculpture d'Étienne-Martin, réalisée en 1960, située dans le jardin de sculptures Julie et Christian Lassonde, bordant le Musée national des beaux-arts du Québec.
Autor: Jeangagnon, Licence: CC BY-SA 3.0
Event Horizon est une sculpture de Bill Vazan, réalisée en 1989-1991, située dans le jardin de sculptures Julie et Christian Lassonde qui borde le Musée national des beaux-arts du Québec.
Autor: Jeangagnon, Licence: CC BY-SA 3.0
Le Fardeau, vers 1925, plâtre d'Alfred Laliberté, Musée national des beaux-arts du Québec
« Lors de la 47e exposition annuelle de l'Académie royale des arts du Canada qui se tient à la Art association of Montreal (l'actuel Musée des beaux-arts de Montréal) à l'automne de 1925, le sculpteur Alfred Laliberté présente quatre oeuvres, dont deux plâtres grandeur nature intitulés Le Fardeau et La Peine. »